Genre : One shot, Chlex bien évidemment
Situation : Comment survivre aux conséquences d'une soirée Karaoké ?
Disclamer : les perso ne sont pas à moi... mais l'histoire si ...
Note de l'auteur : C'est la suite de la fanfiction le Karaoké qui se trouve ici
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Un rayon de soleil diffusait sa chaleur sur sa peau veloutée, la réveillant doucement. Sans ouvrir les yeux, elle prenait le temps de savourer son lent réveil, et la caresse des draps de satin. Draps de satin ? Mais elle n'avait jamais eu ce genre de chose !!! Elle ouvrit précipitamment les yeux et, en même temps qu'elle découvrait la magnifique chambre dans laquelle elle se trouvait et qui lui était parfaitement inconnue, elle ressentit un violent maux de tête, traitement insoutenable qui lui fit émettre un léger gémissement.
La douleur, désagréable mais salvatrice, lui ramena aussitôt en mémoire la soirée de la veille ... les cocktails – maudits, trois fois maudits –, le karaoké – frisson d'horreur, abomination sans nom –, Lex Luthor – chauve, sexy, embrassant comme un dieu – . Pétrie d'angoisse, elle tourna alors la tête à droite et sa plus grande crainte se confirma. Allongé à côté d'elle, visiblement dans le plus simple appareil – le drap couvrant pudiquement le bas de son corps – il dormait, le visage lisse et détendu, un léger sourire aux lèvres.
Ô my God !!! Elle avait couché avec Lex Luthor ! Et cela avait été génial – merde ! -, inoubliable – remerde ! -, preuve que sa réputation n'était pas usurpée. La nuit qu'elle venait de passer lui apparaissait désormais avec plus de clarté et l'expérience avait été un vrai feu d'artifice sensuel ! Elle secoua la tête – ne plus y penser, ne plus y penser ! - se leva doucement du lit et commença à chercher ses vêtements disséminés un peu partout, lui faisant revivre mentalement l'effeuillage torride de la veille. Il fallait qu'elle parte au plus vite, afin d'éviter de devoir lui parler – Mon Dieu, qu'elle se sentait mal – le type « explications du petit matin » auxquelles elle souhaitait à tout prix échapper.
Elle était en train de remettre ses chaussures lorsqu'elle entendit dans son dos
- Bonjour, belle étrangère ...
Faisant mine de n'avoir rien entendu, elle continua son activité, pensant ainsi qu'il comprendrait qu'elle ne voulait au plus vite oublier ce qui venait de se produire. Mais c'était ignoré qu'il s'agissait de Lex Luthor et sa voix s'éleva de nouveau
- Belle vue ... très, mais vraiment, très jolies fesses ...
Instinctivement, la rage monta en elle, en même temps que la rougeur à ses joues. Elle fit volte face et se planta, furieuse, devant lui.
Chloé : Mais vraiment, Monsieur Luthor se croit tout permis. Je ne suis pas une de vos bimbos !
Elle vit le visage du jeune homme s'éclairer d'un sourire ironique.
Lex : Chloé, Chloé, Chloé... Premièrement, après la nuit que nous venons de passer, je nous crois suffisamment intime pour que tu me tutoies. Et je peux t'assurer que sur bien des points, tu n'as rien à envier à mes précédentes conquêtes...
Cette dernière phrase ôta toute raison à la jeune femme et, enlevant sa chaussure, elle lui l'envoya à la figure. Il esquiva le projectile et éclata de rire.
Chloé : Je ne suis pas une de tes conquêtes, Lex. J'étais saoule et tu en as profiter !!! Joli gentleman que voilà !
Il se leva d'un bond et avant qu'elle puisse réagir, il avait saisi ses bras et planter ses prunelles azur légèrement assombries par la colère dans le vert des siennes.
Lex : J'accepte beaucoup de choses de toi, Chloé, mais que tu sous entendes que j'ai abusé de toi, je ne le tolère pas.
Puis un sourire ironique aux lèvres
Lex : Tu oublies que c'est toi qui m'a fait des avances et ... oses me dire que tu n'as pas apprécié ce qui vient de se passer entre nous.
Ses mains se promenaient maintenant sur ses bras en une lente caresse, provoquant un frisson qu'elle ne put contrôler.
Chloé : D'accord Lex, tu as gagné. Cette nuit a été agréable pour moi aussi ... mais cela ne doit jamais se reproduire, tu m'entends, jamais !!! On est d'accord ?
Elle était persuadée de prendre la bonne décision et il ne pouvait être que du même avis qu'elle, car c'était vraiment la seule chose raisonnable à faire. Elle se dégagea de son contact, récupéra sa chaussure et alors qu'elle l'enfilait, elle fut saisi par la réponse du milliardaire.
Lex : Pas question.
Elle fit volte face et le dévisagea.
Chloé : Quoi ???
Lex : J'ai dit que je n'étais pas d'accord. Et je suis persuadé que tu n'en as pas plus envie que moi.
Furieuse, elle lui lança un dernier regard en quittant la pièce.
Chloé : Dans tes rêves, Luthor.
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Elle rentra rapidement chez elle, se débarrassa de ses vêtements qu'elle jeta dans un coin, puis se précipita sous la douche. Elle laissait couler l'eau chaude le long de son corps, sans le toucher, de peur de réveiller des ondes sensuelles encore présentes sous sa peau, souvenirs tactiles des caresses, des baisers, de ce plaisir intense qui avaient émaillé la nuit précédente. Déjà son épiderme se hérissait à cette simple suggestion mentale, et elle décida de chantonner afin de ne plus penser. « Lady Marmelade ... » - Non, mais tu es folle ma fille ou quoi – Elle s'arrêta aussitôt, se demandant ce qui ne tournait pas rond chez elle, et pourquoi son inconscient s'évertuait à la ramener face à ses folies alcoolisées.
Afin de reprendre enfin le dessus, elle sortit rapidement de la douche et après un séchage vigoureux, rougissant sa peau, elle retourna dans sa chambre et choisit le plus strict des tailleurs pantalon qu'elle put trouver ainsi qu'un chemisier d'une sagesse exemplaire. Elle arrangea rapidement sa chevelure, puis après un dernier coup d'oeil satisfait dans le miroir, se dirigea vers l'extérieur. Le plus dur restait à faire : affronter ses collègues et leurs inévitables questions!
Elle avait beau s'être préparer mentalement à ce qui allait arriver, elle eut tout de même la sensation de tomber dans une véritable embuscade. A peine les portes du Daily Planet franchies, elle vit fondre sur elle Lindsay ainsi que deux autres collègues de l'étage d'au dessus qui semblaient avoir élu domicile autour de son bureau. Elle fit donc mine de ne pas les voir, posa sa veste sur le dossier de sa chaise, saisit sa tasse spéciale « poison Sullivan » et partit chercher le précieux elixir nécessaire à sa santé mentale, espérant ainsi leur faire comprendre qu'une discussion n'était pas d'actualité.
Peine perdue. Lorsqu'elle revint, elles étaient toujours là, attirées par l'odeur d'un scoop people touchant leur collègue, telles des abeilles autour d'un pot de miel. Chloé décida de continuer à les ignorer et, contournant Lindsay, elle s'installa à son bureau, alluma son ordinateur et commença à consulter ses mails sans plus se préoccuper de leur présence. Il y eut un premier raclement de gorge léger, un autre plus appuyé, puis, en l'absence de tout réaction de sa part, Lindsay finit par prendre la parole.
Lindsay : Alors Chloé ? Il est comment, dans l'intimité, Lex Luthor ?
Chloé poussa un soupir, mais ne dit rien, faisant mine d'être toujours absorbée par la lecture de ses messages. Mais comment allait elle se sortir de cette histoire de fous ?
Lindsay : Allez, racontes nous, je t'assures que nous resterons muettes comme des tombes ...
Elle sentit alors que quoiqu'elle fasse, ce troupeau de midinettes en mal de sensation ne la laisserait pas en paix tant qu'elles n'auraient rien obtenu. Elle se résolut donc à ouvrir la bouche.
Chloé : Je vais vous décevoir, les filles, mais il ne s'est absolument rien passé.
Silence de mort et mines déconfites de ses collègues furent comme un régal pour la jeune femme.
Chloé : Il m'a sagement raccompagné chez moi, m'a souhaité une bonne nuit et je suis juste allée me coucher.
Elle jubilait d'observer leur déception, et elle les vit commencer à se disperser lorsqu'il apparut, un immense bouquet de roses rouges. Une crainte s'empara immédiatement d'elle, faisant disparaître toute la joie que lui avait procuré la déconvenue de ses collègues. Avant même que la voix du livreur ne se fasse entendre, elle sut que cette merveille – parce que ce bouquet était sans conteste le plus beau qu'elle n'ait jamais vue – allait bouleversé cette journée.
Livreur : C'est une livraison pour Mlle Sullivan.
Avant qu'elle ait pu réagir, ses collègues la désignèrent du doigt et revirent aussitôt autour de son bureau, les yeux gourmands comme des chattes. Alors qu'elle signait le reçu, Lindsay s'empara de la carte qu'elle ouvrit sans vergogne – la sale peste – , qu'elle parcourut puis fit passer aux autres – bande de pestes ! –.
Lindsay : Rien passer, Chloé ? Vraiment ?
Furieuse, la jeune journaliste blonde se transforma en furie, arracha la carte avec rage des mains de ses collègues – commères et mégères–. Elle lut le petit mot « Merci » signé d'un explicite « L. L. ». Sa colère se reporta sur l'affreux – et divinement sexy – milliardaire chauve. Instinctivement, elle foudroya la bande d'hystériques qui l'entouraient, afin de leur signifier qu'elles n'auraient rien à se mettre sous la dent, puis saisit le bouquet qu'elle mit résolument dans la corbeille qui voisinait son bureau. Point final. Pas de sentimentalisme, elle se refusait à le remercier, à le recontacter, et s'interdisait même d'y penser.
Elle resta dans cet état d'esprit toute la matinée, se concentrant sur ses recherches pour son futur article, s'abrutissant dans le travail, ignorant les regards réguliers que lui jetaient Lindsay. Elle partit déjeuner seule, persuadée d'avoir été claire avec toute la jante féminine qui l'avoisinait au bureau et qui fantasmait sur Luthor. Après tout, l'ignorance était la meilleure attitude puisque nier n'avait servi à rien. Et puis, elles finiraient bien par se lasser, voyant que rien ne filtrait, qu'aucune révélation savoureuse n'émaillait leurs nombreuses suppositions. Toutefois, lorsqu'elle revint, elle constata que le bouquet était posé bien en évidence à quelques pas de son bureau, dans un grand vase, sans doute sauvé de la destruction par la main salvatrice d'une de ses collègues compatissante envers la flore.
Alors, elle se dit que la journée allait être longue mais que heureusement « Tomorrow is another day » - Mais c'est évident, Miss Sullivan !!! -
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Malheureusement pour elle, le lendemain et le surlendemain furent à l'image de cette journée : nouveau bouquet, nouvelle carte – seulement estampillée d'un « L. L, » hélas encore trop explicite –, nouveau séjour dans la poubelle, nouveau sauvetage floral ... Le bureau commençait à prendre des allures de salle de réception au parfum envoûtant et les regards de plus en plus insistants de ses collègues ne faisaient que renforcer son malaise. Lorsqu'elle arriva ce quatrième matin suivant la nuit maudite – torride et sensuelle –, ce fut l'angoisse tiraillant ses entrailles, se demandant si les roses rouges allaient à nouveau faire leur apparition. Elle guettait, sursautant à chaque bruit de porte, sur le qui vive, attendant de voir si, une fois de plus, un monstre écarlate – et si délicat – allait franchir le seuil du journal.
C'est alors qu'elle le vit arriver, encore plus rouge que les roses, plus embarrassant qu'une brasée florale, colossal et abominable : un coeur surmonté d'un ruban démesuré. Et ce fut encore son nom qui fut prononcé, sous le regard envieux et ironique de ses collègues. Elle l'arracha presque des mains du livreur, découvrant qu'il s'agissait d'une boite de chocolats provenant du meilleur confiseur de Métropolis ainsi que cette maudite carte, toujours signée « L. L. » mais avec quelques mots cette fois : « Au café, je sais que c'est tes préférés ».
La colère la submergea complètement : il fallait que cela cesse, tout de suite. Lex Luthor pensait la connaître – bon d'accord, les chocolats au café étaient effectivement ses préférés, et alors ? - il allait découvrir que se taquiner ainsi Chloé Sullivan avait des conséquences. Elle saisit sa veste, son sac à main, puis fusillant du regard Lindsay qui tentait une approche de son bureau, elle sortit en claquant la porte. Elle ruminait ce qu'il lui faisait subir depuis quatre jours, les matins d'angoisse, les nuits peuplées de rêves sensuels qui la laissaient au réveil chancelante et angoissée, marchant à grandes enjambées dans la rue, en direction de la Luthor Corp.
Elle pénétra sans encombre dans le bâtiment, passa comme une flèche devant l'accueil, et s'engouffra dans la cabine d'ascenseur qui semblait n'attendre qu'elle. Les 16 étages à parcourir lui permirent de ruminer de nouveau l'ignoble – et romantique – harcèlement dont elle était victime de la part de l'homme le plus riche de Métropolis. Des centaines de femmes auraient rêvé d'être à sa place alors pourquoi fallait il qu'il s'acharne ainsi sur elle, la seule qui ne désirait rien de lui – si ce n'est ses lèvres ... mais ça suffit ma libido, à la niche !!! -.
Elle arriva enfin à destination, passa comme une flèche devant la secrétaire malgré le « Mademoiselle, attendez !!! » lancé par cette dernière, et ouvrit avec violence la porte du bureau de Lex. Elle le vit, en face d'elle, et se dirigea résolument vers lui, le scrutant du regard. Déjà, elle observait dans son regard azur la lueur d'amusement qui avait fait suite à une seconde de surprise, ce qui ne fit que renforcer sa colère. C'est à peine si elle avait conscience d'être suivi par la secrétaire et s'est seulement lorsqu'elle entendit sa voix qu'elle réalisa qu'il n'était pas seul.
Janice : Dois je appeler la sécurité, Monsieur Luthor.
Le visage de Lex se fendit d'un sourire, et elle eut la crainte l'espace d'un instant qu'il acquièsse à la demande de cette employée qui semblait modèle.
Lex : Non, Janice, vous pouvez disposer. Je connais Miss Sullivan et nous avons à parler. Laissez nous, je vous prie.
La porte se refermait à peine qu'elle retourna toute son attention sur Lex. Ce dernier avait revêtu le masque Luthorien de circonstance, et semblait attendre, calme et impassible, qu'elle ouvre les hostilités ... ce dont elle ne se priva pas.
Chloé : Tu peux me dire à quoi tu t'amuses, Lex ?
Lex : Je ne vois pas de quoi tu parles Chloé ...
Un soupir de frustration s'échappa des lèvres de la jeune femme.
Chloé : Je parles des fleurs, ces énormes et odorants monstres dont tu me couvres depuis quatre jours !!!
Lex : Tu n'aime pas les fleurs, Chloé ???
Là, c'en était trop !!! Elle supportait beaucoup de choses, mais se faire prendre ainsi pour une imbécile, elle ne le tolérerai pas !!!
Chloé : Ainsi, môssieur Luthor fait de l'esprit !!! môssieur Luthor se croit au dessus de tout !!! môssieur Luthor ne comprend pas le mot non !!!
Elle pensait le vexer, mais ce fut un sourire qui apparut au coin de ses lèvres.
Lex : Je comprend le sens caché des mots, Mademoiselle Sullivan.
Il commença, tel un fauve, à se rapprocher d'elle, et elle se sentait incapable de bouger, de fuir – Danger, danger, ne le laisse pas approcher – mais malgré les suppliques de son cerveau, ses pieds restaient résolument rivés au sol.
Quand il fut en face d'elle, il plongea ses yeux dans les siens.
Lex : Dis moi que tu n'as pas repensé à cette nuit, et j'arrête.
Le rouge montait lentement aux joues de Chloé tandis qu'elle repensait aux rêves qui hantaient ses nuits depuis cette fameuse histoire, ceux où la température de son corps atteignait des sommets et dont elle se réveillait, frustrée et rageuse.
Chloé : Ce n'est pas la question, Lex. Tu dois arrêter de m'envoyer sans cesse des cadeaux ... cela me met dans une position intenable auprès de mes collègues et ...
Elle ne put finir car la bouche de Lex venait de s'écraser sur la sienne. Immédiatement, une douce chaleur l'envahit et elle entrouvrit naturellement les lèvres, laissant la langue du jeune homme s'insinuer, entamant une danse sensuelle avec la sienne. Très vite, ce baiser devint passionnée, ses mains se nouèrent naturellement autour du cou du milliardaire, tandis qu'elle sentait son corps explorer de caresses expertes.
Lorsqu'il se sépara d'elle, elle chancela, encore sous le coup de l'exquis moment.
Lex : Tu n'as toujours rien à me dire, Chloé ???
Il souriait, mais il n'y avait plus rien d'ironique désormais dans son sourire, elle y percevait même ... de la tendresse. Ce constat, plus encore que le baiser, finit définitivement de la troubler.
Chloé : D'accord, Lex, tu as gagné. J'ai repensé à notre nuit, je n'ai aucune envie que tout s'arrête, t'es content ???
Il approcha sa main de sa joue et la caressa doucement.
Lex : C'était si dur que cela ??? Je veux dire, admettre que tu souhaites être la petite amie du célibataire le plus convoité de Métropolis.
Cette seule phrase eut l'effet d'une douche froide pour la jeune journaliste.
Chloé : Mais je ne veux pas être ta petite amie ... du moins pas officielle. Je ne suis pas une bimbo, Lex, je suis une jeune femme qui souhaite continuer à mener sa vie actuelle, à exercer son métier dans lequel, d'ailleurs, elle excelle. Je ne veux pas me retrouver poursuivi sans cesse par une horde de paparazzis !!!
Cette perspective lui faisait poindre les larmes aux yeux – pourquoi fallait il qu'elle soit aussi émotive ? - et elle commença à s'éloigner doucement vers la porte, gardant les yeux rivés sur lui, plein de regret.
Chloé : Je ne pourrais jamais vivre cette vie là, je ne suis pas faite pour la lumière.
Elle allait atteindre la porte lorsqu'enfin il ouvrit la bouche.
Lex : Alors restons cachés.
Interloquée, elle suspendit sa main qui déjà avait saisi la poignée et le dévisagea.
Chloé : Qu'est ce que tu veux dire ?
Il se rapprocha d'elle, lentement, gardant son regard rivé dans le sien.
Lex : Voyons nous en cachette, sans représentation, sans dîners officiels. Tu ne veux pas de la vie publique d'une petite amie de milliardaire, mais moi je ne veux pas me passer de toi.
Elle sentait son corps tremblée, tandis qu'un sourire revenait à ses lèvres, très vite enseveli dans le baiser passionné que Lex lui offrit. Leurs langues s'enroulaient dans une danse folle, empreinte d'un vertige que rien ne semblait pouvoir éteindre.
Lorsqu'enfin ils se séparèrent, elle était chancelante et c'est à peine si elle perçut le son de sa voix.
Lex : Deal ?